C’est indéniable, j’ai du pain sur la planche cette semaine, ce qui explique un peu ce silence tombé sur le blog depuis quelques jours. Il se trouve en plus que mon petit doigt (sur lequel je compte beaucoup en règle générale) a pris le large pour une semaine de repos digital bien mérité aux pays des vaches blanches et noires, sur lesquelles tombe la pluie…
Me voilà donc seule, à essayer de faire monter la mayonnaise bloguesque alors qu’il est près de 20h, et que la clim’ du bureau s’est arrêtée depuis trop longtemps.
Rouge comme une tomate, je tapote donc sur le clavier mais surtout, je pédale dans la semoule. Pour bien faire, il faudrait que je vous raconte des salades, des vertes et des pas mûres, mais pffff… ras le bol !
Que font les autres doigts à votre avis ? Ils me prennent pour une bonne poire, oui ! Mais moi, je dis POUCE. Je ferais mieux de les laisser mariner, tiens. Purée ! Si par hasard vous ne la sentez pas vibrer à travers ma prose, je vous informe que la moutarde m’est bel et bien montée au nez.
Quel était l’exercice demandé, au fait ? Rédiger une petite note, truffée de bons mots savoureux : il n’aurait pas du y avoir de pépins. J’imagine que le fait de casser du sucre sur le dos des absents n’étais pas prévu au programme, mais finalement, ma soupe à la grimace est nourrissante, j’irais même jusqu’à la qualifier de nutritive et vitaminée !
Conclusion, faire du boudin dans son coin n’est pas tout à fait inutile. La preuve : vous êtes en train de la lire
Bénédicte ( la petite Poucette)
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